1. |
Florence
04:19
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Je suis venu te dire
Que c'est loin d'être comme ça
Ce que tu vois autour
Un feu des vautours
Je suis venu m'enfuir
Parfois c'est comme ça
Le hasard des parcours
Sauve qui peut
Florence
Je me suis perdu
Je ne peux me faire comprendre
Ne pouvais être comme eux
Mais J'ai voulu te dire
Que rien n'est noir comme ça
Comme ce qui est autour
Mon nœud est un poids lourd
*********************
Ici le vent est calme
Ici je suis moi
Elles sont douces ces vagues
La mer est à moi
Ici le vent est calme
Ici tu es chez toi
Elles sont douces ces vagues
La mer est à toi
Florence
Je me suis perdu
Je ne peux me faire comprendre
Ne pouvais faire comme eux
Mais J'ai voulu te dire
Que rien n’est noir comme ça
Comme ce qui est autour
Mon nœud est un poids lourd
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2. |
Elle ne s'aime plus
03:55
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Un jour elle m'a annoncé :
«Je ne m'aime plus
Je me perds de vue
Je ne peux plus avancer »
Elle m'a raconté :
«J'ai besoin du vent
De reculer le temps
Sans toi j'avancerai»
C'est qu'aucun mot
Aucune poésie
N'est venu à bout
Qu'elle s'aime à nouveau
Un jour elle m'a annoncé :
«Je ne me veux plus
Je me perds de vue
Même si l'on s'aime encore»
Elle a continué :
«Mon corps est mort
Si tu m'aimes plus fort
Laisse-moi partir ce soir»
C'est qu'aucun mot
Aucune poésie
N'est venu à bout
Qu'elle s'aime à nouveau
C'est qu’aucun mot
Aucune poésie
N'est venu à bout
Qu'elle s'aime à nouveau
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3. |
Les fleurs
04:34
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Les fleurs
Ne font pas de bruit
Les fleurs
De cet infini
Mais elles crient
A la vie
Les fleurs
Ne font pas de bruit
Elles ont peur
De la sombre nuit
Mais elles vivent
Dans un cri
Je ne crois pas qu’elles
Quittent la nuit
Car je ne crois qu’elles
Se sentent en vie
Leur coeur
Ne fait plus de bruit
Leur peur
Rongée par la pluie
Et elles crient
A la vie
Je ne crois pas qu’elles
Quittent la nuit
Car je ne crois qu’elles
Se sentent en vie
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4. |
L'échappatoire
03:03
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Tu m'as dit Adieu
Dès les premiers instants
Où mon cœur s'est gonflé
De chaleur
Où mon âme a trouvé
Le bonheur
Tu m'as dit je pars
Dès notre premier moment
Mon corps s'est découvert
De poussières
J'ai vu de la fenêtre
La lumière
J’attends toujours
Il fera moins noir plus tard
Il fera moins noir plus tard
Mais moi j’attends toujours
Il fera moins noir plus tard
Il fera moins noir plus tard
T’as franchi la porte
Sans regarder derrière
Bien vite tu m'as quitté
Par la cour arrière
T’as crié : «c'est l'heure
Mon ami je te quitte
J'ai compris que l'horreur
Peut nous trouver bien vite»
Mais j'ai entendu
Que tu ne voulais plus
Faire semblant
Vraiment
Tu crois qu'on ne s'aime plus
Comme avant
Mais moi j’attends toujours
Il fera moins noir plus tard
Il fera moins noir plus tard
Mais moi j’attends toujours
Il fera moins noir plus tard
Il fera moins noir plus tard
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5. |
Le dernier train
04:52
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Lever du soleil
Dans le TGV
Un paysage inachevé
Nous roulons
Bien loin
Au travers
De la misère
Du dernier train
Je ne crois pas
Je ne crois pas que
Je suis là
Je ne crois pas
Je ne crois pas que
Je suis
Là
Avec
Toi
Dans mes bras
Un désert d’automne
Deux arbres
Seuls
Dégarnis de feuilles
Qui ne pensent qu’à rire
Malgré tout
Pourquoi veut-on fuir ?
Deux sièges
Deux cafés
Entamés
Notre histoire
Sans fin
Un quai
Que deux valises
Je m’enlise
Pour nous démêler
Je ne crois pas
Je ne crois pas que
Je suis là
Je ne crois pas
Je ne crois pas que
Je suis moi
Avec toi
Quitte mes bras
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Vidjay Rangaya Montreal, Québec
Né d’un heureux métissage des cultures indienne et québécoise, Vidjay Rangaya a grandi dans un milieu où l’art a toujours été partie intégrante du quotidien. Musicien depuis son jeune âge, l’Estrien désormais basé à Montréal façonne son art en collaborant sur divers projets musicaux et spectacles partout dans le monde. Le voici maintenant qui vous présente son deuxième album, Un milliard d'années. ... more
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